On m’interroge : qu’est-ce qui justifie que je ne renonce pas au désir de révolution ?
D’abord, peut-être, sans doute que, jusqu’alors, cette question qui insinue un doute, il ne m’était jamais venu à l’esprit de me la poser tant j’étais dans la certitude que mon désir m’était inaliénable, que (…)