Ainsi, il ne se serait finalement rien passé, ou si peu, dans les banlieues à l’automne 2005.
La délinquance au quotidien, « business as usual ». Quelques « agitateurs haineux » manipulant « quelques milliers d’excités sans neurones », auraient fait « reculer la cause des pauvres ».
Rien de (…)