Le « Z » est retors, pervers et sournois sous ses airs mystérieux et farfelus. Il avance masqué, cachant ses plans tordus (Z) par un zozotement trompeur, mais sa forme n’a rien d’innocent ou d’enfantin. Répété (« Zzz »), il endort ; brandi, il tue. « Ravi » d’avoir un « z » dans son nom, Gilles (…)