Sarkozy l’avait rêvé : le G20 de Cannes, sous sa présidence, devait être l’apogée de sa politique internationale, de quoi redorer sa cote de popularité, bien mal en point à quelques mois de la présidentielle. La « crise grecque » consécutive à l’annonce par Papandréou, lundi 31 octobre, d’un (…)