On ne peut lire en français qu’un seul volume de Dorothy Parker. Pourtant il s’agit d’une égale des grands écrivains de sa génération, sinon de Faulkner, du moins de Steinbeck, de Hemingway ou de Fitzgerald qui fut de ses amis. Est-ce un cas à la fois de l’insularisme français, du peu de goût de (…)